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Cahiers d'été

4 juillet 2005

Jour 1

Préambule

J'ai envis d'entreprendre le presqu'entrepris, d'aller ou quasiment tous sont allés, sonder le ressondable, tatonner la nuance aigris des âges... Dans les azurs perdus parmis les songes je souhaite retranscrire l'exacte sonorité de ma voix d'intérieur, celle qui dicte la parole et la pensé, et dans le clair obscur des esprits métamorphosés trouvé l'idée liante du tout, de l'homme et du rien de l'autre monde et de celui-ci.

Alors dans la folie des nuées j'espère être le réel vecteurs de l'"into" au "out". Je veux modéré, voire bannir les convention de sciences pour attendre l'exacteessences de l'homme et de son envers.

Dans les terres brûlées du rêves j'ai déjà été chassé des esprits d'accoutumance, des romans d'éphémère et des idylles trois fois millénaires... Et de ses voyages théoriques j'ai ramenés quelques oiseaux d'armetumes et métaphysiciens antiques...

Mais ici il n'y aura que lui, ce "je" indifférent et presque inhumain, cet analyseur nevrotique, cet obstiné compagnion de la coque. Il sera le seul, ni "moi" ni "vous" n'aurez votre mot à dire seul lui sera seul guide de ce blogue. Dans les conséquences d'une telle décisions on retrouve l'inutilité d'un commentaire anachronique que ne respecterais pas la logique du temps. Je ne me donnerais qu'un jour pour refléchir à l'appel de l'extérieur.

"Il n'y a pas de début sans fin..."

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21 juin 2005

Jour 0

le jour n'est pas encore venus...

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Cahiers d'été
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